Pierrefitte / Stains (93)
1954-1966. Réalisé.
Vaste ensemble, réalisé en deux tranches : 539 logements, magasins et dispensaire en 1957-1960, puis 381 logements et 225 logements en 1960-1966. Étudié au sein de l’agence de Jean Dubuisson.
Avenue du Mahatma Gandhi, Paris XVIe
Réalisation 1964-1972. Fermé en 2005.
Pour Georges-Henri Rivière et en lisière du Bois de Boulogne, un édifice phare pour son architecture métallique, ses collections ethnographique et l’intervention de l’artiste Marta Pan. Participation au projet au sein de l’agence de Jean Dubuisson.
Rue de Cormontaigne, Basse Yutz, Thionville (54)
1962. Réalisé.
L’un des territoires de l’urbanisation moderne, lié à la réindustrialisation de l’Est de la France, comme le signifie le programme : 1140 chambres pour célibataires, réparties en quatre immeubles, avec services en rez-de-chaussée. Étude réalisée au sein de l’agence Jean Dubuisson.
22, rue du Colonel Fabien, Ivry-sur-Seine (94)
1954-1961.Réalisé.
Un immeuble tertiaire compact, à la structure affirmée pour être repérable dans le contexte d’une périphérie urbaine complexe.
Réalisation cosignée avec Jean-Pierre Jausserand et Jean Dubuisson.
Parc de Rocquencourt, Rocquencourt (78)
1962/1964. Réalisé.
Chez Jean Dubuisson, Olivier Vaudou participe à l’édification d’une opération identifiée, à l’époque, comme représentative de l’avènement d’une architecture de qualité, remarquée pour ses logements et son insertion dans un parc aux arbres centenaires.
Quartier Vanak, Téhéran (Iran)
1970-1976. Réalisé.
Avec Jean Dubuisson, Vaudou et Luthi conçoivent un ensemble résidentiel de cinq tours (dont trois seulement seront réalisées) exprimant l’entrée de l’Iran dans le monde contemporain.
34, avenue.de Viry, Sainte-Geneviève-des-Bois (91)
1958-1965. Réalisé.
Cosignée avec Jean-Pierre Jausserand, deux volumes simples séparant l’habitable et l’utilitaire, traduisant la perméabilité de l’architecture française aux expressions scandinaves et américaines.
10 rue Albéric Magnard/5, rue Alfred Dehodencq, Paris XVIe
1964. Réalisé.
Retraitement complet de la façade d’un garage, à l’occasion de sa surélévation et de la création, sur chacune des deux rues, d’un ensemble de 13 logements dont celui de l’architecte en duplex avec terrasses panoramiques.
63, avenue de la Bourdonnais, Paris VIIe
1962. Réalisé.
Jausserand et Vaudou (au sein de l’agence de Jean Dubuisson) libèrent Paris des préceptes d’Haussmann pour conquérir la lumière, magnifier le verre et le métal et éradiquer l’enfilade fumoir, salon, salle à manger. Immeuble devenu une référence du patrimoine architectural parisien du XXe siècle.
Rue de l’Île d’Yeu (Campus du Tertre), Nantes (44)
1963-1968. Concours. Projet lauréat. Réalisé.
Le premier concours en indépendant des deux architectes qui créent leur agence pour assurer la réalisation de cet ensemble de bureaux et de laboratoires complété par des logements de fonction.
D 36, Solaize (69)
1967-1976. Concours. Projet lauréat. Réalisé.
Un ensemble cohérent d’édifices dans le cadre d’un grand projet d’urbanisme industriel intégré à l’espace de la pétrochimie lyonnaise.
Avenue de Fontainebleau/106 Place de la Logistique, Rungis (94)
1966-1968. Réalisé.
Le transfert des halles de Paris à Rungis offre l’opportunité d’un grand chantier, combinant centre administratif et entrepôts liés au transport routier qui organise ici sa rupture de charge entre la province et la région parisienne.
Faculté des sciences, Orsay (91)
1967. Réalisé.
Petite construction (1 000 m2) en béton et brique marquée par la référence inattendue mais explicite de ses pignons à des réalisations de Le Corbusier.
2, rue Scribe, Paris Ier
1967/1970. Réalisé. Rénovation transformé depuis en palace classique.
Face à la concurrence des nouveaux hôtels parisiens, ce palace XIXe est doté d’un style fonctionnel que symbolise sa réception dépouillée.
Avenue Essômes, Château-Thierry (02)
1970-1971. Réalisé. Modifié.
Des façades vitrées contreventées par de fins poteaux métalliques cachent une prouesse constructive pour édifier cette piscine sur une nappe phréatique.
Zone de frêt, Orly (94)
1969. Réalisé.
Une opposition dynamique entre de puissantes poutres de béton en V et les parois lisses de quais de chargement.
Boulevard John F. Kennedy, Corbeil-Essonnes (77)
1970-1971. Réalisé.
Une usine lisse pour les premiers composants électroniques produits en France par IBM qui déconcentre alors sa production dans différents pays et affirme son image de marque dans ses constructions, ses produits, sa communication.
(Actuel Musée Georges Pompidou)
Rue Beaubourg, Paris IVe
1970. Concours. Projet non retenu (parmi 682 candidatures).
Un socle haut surmonté d’une mini-tour : ce projet distinguant le musée de la bibliothèque revisite
les principes du musée des Arts et traditions populaires conçu lors de la collaboration avec Jean Dubuisson.
Avenue Essômes, Château-Thierry (02)
1971-1972. Réalisé.
Une toiture aux accents toniques comme un smash gagnant, une coque de brique, de verre et de métal encadrant les aires de jeux dans une parenté formelle avec la piscine.
Avenue Essômes, Château-Thierry (02)
1971-1972. Réalisé.
Sanitaires en briques, aux formes géométriques simples, combinant murs pleins et vides généreux font écho aux volumes de la piscine.
102, rue Saint-Dominique, Paris VIIe
1971-1973. Réalisé.
Immeuble d’angle aux puissants balcons, imposant son esthétique dans un quartier solidement classique, entre École militaire et Invalides.
La toiture arborée et les évidements pratiqués dans son volume compact font qu’il semble anticiper certaines pratiques actuelles de conception.
Avenue Vladimir Komarov, zone industrielle, Trappes (78)
1972-1975. Réalisé. Détruit.
Dans un décor paysagé soigné, libéré des voitures, des alvéoles hexagonales accueillent un restaurant inter-entreprises de 400 places, un restaurant de 150 couverts, deux agences bancaires, un poste de médecine du travail et les bureaux du promoteur.
Front de Seine, Paris XVe
1972-1973. Concours. Projet non retenu. Concours sans suite.
Une forme puissante, quasi sculpturale pour une ORTF en mutation, rêvant de s’évader de sa «Maison ronde» signée par Henry Bernard, pour franchir le fleuve et gagner le Front de Seine, quartier emblématique des conceptions que la décennie précédente se faisait de la rénovation urbaine.
(ex ESCAE, actuelle EM Lyon Business School)
23, avenue Guy de Collongue, Écully (69)
1972-1974. Réalisé. Défiguré par une extension.
De grandes lignes de béton blanc flottent au-dessus des vitrages, ouverts sur des bassins et le paysage.
Un exercice d’esthétique minimaliste sur le béton après des années de pratique du métal.
14, avenue de Paris, Tunis (Tunisie)
1972. Réalisé.
Sur un rez-de-chaussée entresolé, un immeuble de 6 étages, aux lignes horizontales affirmées par des brise soleil semblant librement répartis sur la façade.
Domaine Santa Lucia Di Testa, Lecci (Porto Vecchio)
1973. Réalisé.
Face à la mer, une maison de béton et de pierre, en belvédère, mais intégrée dans la pente et la pinède.
Boulevard John F. Kennedy, Corbeil-Essonnes (77)
1974. Réalisé.
Construction de la première tranche du bâtiment B3
( 20 000 m2), destiné à la fabrication de composants d’ordinateurs.
Évry (91)
1974.Réalisé.
L’ immeuble, articulé à son socle par une poutre affirmée, offre une haute façade, rythmée par des éléments architectoniques. Le pli devient horizontal.
Rue de La Haie à Sorel, Saint-Quentin-en-Yvelines (78)
1975. Réalisé.
Un ensemble géométrique de volumes à structure métallique et remplissage brique, pour un programme que les villes nouvelles transforment en vitrine de nouvelles approches architecturales.
Suresnes (92)
1976. Concours, projet lauréat. Réalisé.
Un ensemble de 80 000 m2 de logements, commerces et bureaux, développé sur un site en belvédère sur la Seine et le bois de Boulogne. La plus importante opération urbaine signée par les deux architectes.
Bazemont (78)
1977. Réalisé.
Deux volumes emboîtés, ouverts sur leur environnement par de grandes baies vitrées, prennent possession d’un site en pente.
Nouadhibou, Mauritanie
1978-1979. Projet.
Un petit établissement de 2 700 m2 affichant ses chambres, disposées en redents pour se protéger du soleil, et juchées sur un niveau regroupant les services.
La Sourderie, Saint-Quentin-en-Yvelines/
Montigny-le-Bretonneux (78)
1979. Réalisé.
Un exercice sur l’habitat intermédiaire (114 logements) dans le contexte d’un quartier phare de la Ville nouvelle de l’ouest parisien.
Rue Réaumur/rue Dussoubs, Paris IIe
1979-1984. Réalisé.
Reconversion aboutie d’un grand magasin du quartier de l’Opéra en bureaux, pour une firme internationale exigeante, très attentive à son image de marque.
Quai de la Rappée, Paris XIIe
1982. Concours, projet non retenu.
Une proposition linéaire à laquelle ne manquait qu’un zeste de radicalité et, sans doute, quelques alliances pour l’emporter.
Le Vaudreuil/ Val de Rueil (76)
1982. Réalisé.
Réalisation se situant dans le cadre du développement de la ville nouvelle du Vaudreuil.
Lisieux (14)
1982. Réalisé.
Une expression ferme : une structure blanche et minérale se détache de la façade pour en scander le développement. L’écriture exprime les savoir faire acquis dans les années 1970.
1983, Réalisé.
À l’arrière du carreau céramique et du vitrage bronze existent le plaisir du patio, désormais couvert sous la pression des premières économies d’énergie, la référence au jardin d’hiver du XIXe siècle et la générosité de l’espace.
Cergy (77)
1985.Extension.
La structure blanche et grise se détache de la façade pour mieux en rythmer le développement où s’affirme le vitrage.
Châtillon-sous-Bagneux (92)
Non daté. Réalisé.
Un petit immeuble qui affirme l’emploi du métal en façade, structure déterminant neuf grandes baies
constituées, selon le dispositif de l’ISTPM à Nantes, d’un module de base simplement inversé.
Non localisé, non daté.
Olivier Vaudou, collaborateur de Jean Dubuisson.
Campus universitaire du Tertre, Nantes
1969. Concours, proposition non retenue.
En dialogue potentiel avec l’École centrale voisine, une nappe de bâtiments bas pour créer la lisière du campus, dominée par la faculté de Droit et de Sciences économiques de Louis Arretche.
Quai de Clichy/rue du Général Roguet, Clichy (92)
1980. Réalisation. Transformée en entrepôt de stockage.
Un vocabulaire simple pour un édifice technique nécessitant de grandes portées libres.
Non localisé.
Non daté. Projet.
Zone Industrielle, Trappes (78)
1969. Réalisé.
Replet et bicolore, un château d’eau qui ne rime plus obligatoirement avec béton.
Pour de nombreux parisiens se rendant dans la forêt de Rambouillet, il a longtemps constitué un repère visuel, joyeux et solitaire.
Mouriès (13)
1974. Étude.
Petits ensembles de 3 à 6 maisons individuelles disposées autour d’une placette, répartis dans un site de collines. Les pièces de chaque habitation sont dédiées aux plaisirs de la vie méditerranéenne.
Ryad (Arabie Saoudite).
Non daté. Projet.
Aulnay-sous-Bois (93)
1980. Projet.
Cet édifice compact, percé de patios, reprend l’écriture favorite des architectes, contraints d’adjoindre à leur composition géométrique les deux excroissances des escaliers de secours requis par la réglementation incendie.
Non localisé. Non Daté. Concours. Projet non retenu.
La consultation portait sur la reconstruction de cette Fondation de soins.
Non localisé.
Non daté. Projet.
Extension qui déjoue la tentation du pastiche pour afficher sa filiation avec les principes constructifs de l’école de commerce de Lyon-Écully.
Le Tanneron (83)
Non datée. Étude.
L’émergence d’une figure étonnante, entre grande demeure multi-nucléaire et petit hameau.
Torcy (77)
1980. Projet.
Les lignes épurées traduisent la maîtrise de la mise en forme des programmes et d’une quête permanente de la lumière naturelle comme élément de confort et comme matériau d’architecture.
1980. Non localisé. Réalisé.
Déclinaison métal et brique appliquée à un ensemble administratif et à l’entrepôt qui le jouxte, dans un environnement de zone industrielle.